1. |
La roue
03:54
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A l’appel de la route, du ventre
Trouver aux quatre vents mon centre.
Sous la lueur de Sol, de Lune,
Sillonner les chemins
Qui me mèneront à toi
A mon destin.
C’est un drôle d’oiseau,
Lui qui dort contre la terre,
Lui qui devient le fil de l’eau
Lui qui est vu comme une chimère.
Lassé d’être incongru
A la nature il s’en réfère,
Dans l’effort détendu
Puis tournoyant dans une clairière.
Ô mon amour, mon émoi,
Entends mon souffle, entends ma voix,
Rejoins-moi quand je serai las
De voyager pour toi et moi.
Je te porte, t’emporte
Te sème au clair de lune
Ma louve mon corps ma belle brune
Allons s’aimer hors de ma plume.
La roue s’emballe, la route dévale,
Et soudain les sourires s’enchaînent,
La beauté partout se déchaîne,
La paix de l’arbre t’y amène.
Dans l’inconnu, l’impromptu,
Ces graines de joie je récolte et sème.
Une seule loi me guide :
Aime ce qui est à portée de ta vue.
Lenteur, contemplation,
Efforts, épreuves, rétributions :
Je fais chaque jour le pari gagné
Que l’humain est bon !
Senteurs, couleurs et beaux rivages
Et vivre loin des esclavages
Ces choses-là ne s’achètent pas
Viens et partage ma salade sauvage.
Contemplatif, content-patient
Tantôt actif puis relâchant
Mais chaque geste a un sens
J’fais un tour dans la signifiance.
La joie est mon essence
Le cœur guide la cadence
A la bonne heure quelle chance de vivre cette danse
La roue s’emballe, la route dévale,
Et soudain les sourires s’enchaînent,
La beauté partout se déchaîne,
La paix de l’arbre t’y amène.
Dans l’inconnu, l’impromptu,
Ces graines de joie je récolte et sème.
Une seule loi me guide :
Aime ce qui est à portée de ta vue.
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2. |
Quatre vents
05:18
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3. |
Nomades
05:28
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4. |
Au rythme de ta robe
03:27
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5. |
Comme Sangoku
04:34
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6. |
En remontant la rivière
02:39
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7. |
Song to say goodbye
03:46
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8. |
Fly
03:43
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9. |
Le Bocal (intro)
01:22
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10. |
Le bocal
05:00
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11. |
Sous les étoiles
03:50
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Sous les étoiles, tu t'endors doucement dans mes bras
Je n'ose pas, peindre la toile, de ce que je ressens pour toi
C'est magnifique, et c'est que dalle, de ne rien voir
Devant et derrière soi, et ce doux frisson qui s'installe
A dû faire chuter bien des rois
Si la Terre s'effondre, il restera la musique
Et sous les décombres, enfin naîtra le grand silence
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